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Après 17 années de restructuration du vignoble, d'approfondissement de la connaissance de ses terroirs, de réhabilitation du vin et de sa marque, l'actionnaire historique de la propriétédonne une forte impulsion à la stratégie de positionnement du Château d'Agassac.

Vers une sélection encore plus rigoureuse

Déjà remarqué par grand nombre de dégustateurs comme une valeur sûre du Haut Médoc, comparé par certains comme l'égal des crus classés* et ayant déjà intégré le fameux classement TOP 100 du Wine Spectator, Agassac choisit de restreindre de manière significative le cœur de sa sélection parcellaire destinée au premier Vin du domaine pour tous les millésimes à venir. Ce sont désormais 40% des surfaces qui sont dédiées à D'Agassac, contre 70% auparavant.

C'est donc un effort considérable qui est entrepris pour faire progresser de manière significative la qualité du premier vin D'Agassac, mais également toute la gamme puisque des parcelles qui jusqu'alors étaient affectées au premier vin vont enrichir qualitativement les autres vins produits par le domaine.

De nouveaux objectifs pour D'Agassac... avec Stéphane Derenoncourt

Cette stratégie s'appuiera également sur la présence, au côté des équipes techniques de la propriété, de Stéphane Derenoncourt à qui, Jean-Luc ZELL - régisseur du domaine et artisan de cette nouvelle stratégie - a demandé de poursuivre les efforts engagés sur la voie de la construction d'un vin de haute expression représentant les valeurs de bordeaux et du Médoc : équilibre, concentration, précision finesse et élégance.

Chateau d'Agassac

[Je suis très heureux de pouvoir participer à cette nouvelle aventure, car l'objectif est ambitieux, les moyens sont là et les vins sont déjà très bons. L'approche de la gestion parcellaire existante me convient et le challenge défini par Jean-Luc Zell me plait. Nous sommes heureux de pouvoir désormais accompagner l'équipe technique de la propriété en apportant nos conseils sur la gestion des derniers réglages.] -                                                                     Stéphane Derenoncourt
*B Burtschy le figaro.fr mars 2013